Il était une fois un domaine d’environ 220 ha, endormi depuis presque un siècle, resté dans un état de conservation surprenant. La propriété construite essentiellement entre le XIXe et le milieu du XXe siècle conserve toute son unité et sa complétude. Une maison de Maître, des champs des prés, des bois, des espaces de maraîchage, d’élevage, des sources, un lavoir une pompe bélier et son château d’eau. Tout y est.
Pour rencontrer la maison c’est ici.
De ce lieu des voix se sont fait entendre pour dire la nécessité de préserver et de réveiller la vie.
La faune et la flore ne nous ont pas attendus pour prendre possession des lieux et nous les en remercions car ils ont façonné le domaine de Boisguérin comme ils savent le faire, en toute liberté et avec le plus grand soin. Les bâtiments restés dans leur état d’origine méritent une rénovation respectueuse au plus proche de leur état d’origine. La pompe bélier ne demande qu’à irriguer le potager et abreuver les bêtes. Le domaine de Boisguérin est un espace patrimonial dont le caractère exceptionnel mérite qu’il soit choyé et partagé par tous. Lieu de respect et de découverte, son avenir n’accepte aucune compromission. Sa vocation est l’inspiration des envies et la transmission des savoirs dans le respect de la nature et de l’homme.
Les mesquineries du capitalisme n’y ont pas leur place car la place de Boisguérin n’est dans le XXIe siècle. Il nous a fallu trouver l’outil idoine pour permettre une gouvernance pérenne. L’organisation et la gouvernance de la SCIC permettent aux adhérents de veiller à la destinée du site de Boisguérin.